18 juillet 1772: Mercy à Marie-Thérèse
Compiègne
J'ai appris par la comtesse de Noailles, par l'abbé de Vermond et par mes propres observations, que depuis quelques semaines Mme l'archiduchesse éprouve de temps en temps des moments de tristesse, qui ne sont point de durée, mais qui annoncent cependant l'approche de quelques réflexions fâcheuses sur la condition incompréhensible de M. le dauphin, et sur l'incertitude de la durée et des suites que pourra avoir sa froideur