15 décembre 1772: Marie-Antoinette à Marie-Thérèse
Versailles
Madame, ma très chère mère,
Les gazettes n'ont pas encore raison
(Marie-Antoinette restait persuadée que sa mère était informée de ses moindres faits et gestes par les gazettes)
Je ne désespère pas que cela n'arrive bientôt
Je crois qu'il n'est pas encore assez fort; certainement du moment que cela arrivera, je ne perdrai pas une minute pour vous le mander
Mercy secondera sûrement bien mon empressement